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 Et un coup de pied au cul d'Emilie, et un !!

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Soan Knight

Soan Knight
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Carnet de bord
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MessageSujet: Et un coup de pied au cul d'Emilie, et un !!   Et un coup de pied au cul d'Emilie, et un !! G1oWKJeu 13 Aoû - 16:28



Antoine
Sirkis


« Impossible n'est pas français - Impossible is not English - невозможное не русское - Onmogelijk is niet Nederlands - Unmögliche ist nicht Deutsch !
C'est dur , mais un agent de CHERUB est encore plus dur !
»



© K-Kwette
Et un coup de pied au cul d'Emilie, et un !! Antoin13
Feat .Unknown


THIS IS ME - Identité


« Age »
ÉCRIS L'ÂGE DE TON PERSONNAGE 9 ans ( 10 le 8 juin )
« Sexe »
EST-CE UN HOMME OU UNE FEMME ? Garçon
« Date et Lieu de naissance »
OU ET QUAND EST-IL NÉ ? Né le 8 juin 2001 à Bruxelles
« Profession »
EST-CE UN AGENT, UN PROFESSEUR OU UN INSTRUCTEUR ? Agent
« Tee-shirt »
QUEL TEE-SHIRT VEUX-TU ? Rouge
« Loisirs »
IL A BIEN UNE OCCUPATION ? Les langues étrangères , le théatre , le tennis , lire , dessiner ...
« Don / Talent »
IL DOIT BIEN EXCELLER QUELQUE PART ? En Langues etrangères


ONCE UPON A TIME - Histoire
. 20 Lignes minimum
« 20 LIGNES MINIMUM !
Chapitre 1 : NAISSANCE
Cela faisait 9 mois que Julia était enceinte d'Antoine Bitchokovitch. Ce furent 9 mois douloureux pour le jeune couple. La mère, belge , 27 ans , avait contracté une maladie grave et rare qui risquerait de compliquer l'accouchement. Son état empirait chaque jour, mais heureusement, cette maladie n'était pas génétiquement transmissible.
Son père , russe d'origine, s'apellait Vladimir et avait 29 ans. Sur le moment, il était partagé entre la joie d'avoir un enfant et la tristesse de perdre sa femme. Cet homme était comptable dans une petite société et ne gagnait pas trop mal sa vie.
Ils vivaient dans une petite maison à Etterbeek( Bruxelles ) avec la grand-mère du père , Anna ,80 ans.Sa famille avait immigré vers la Belgique dans les années 50.
En effet, la guerre froide que subissait la Russie à cette époque n'en faisait pas un pays ou il fait bon vivre. De plus une crise économique et sociale accompagnait la situation déjà catastrophique. La famille pensait déjà depuis longtemps à migrer vers un pays plus riche en Europe, ou il n'y avait plus la guerre depuis maintenant 13 ans. Justement en 58, il y avait l'exposition universelle à Bruxelles, avec l'inauguration de l'Atomium. Et devant l’afflux de touristes qui arrivaient en Belgique, le contrôle de papiers et de visas était devenu très difficile, donc assez rare. C'était l'occasion ou jamais. Anna était en plus enceinte de Vladimir et elle ne voulait pas que le petit grandisse dans cette situation.
ils réussirent à embarquer dans un vol clandestin, et arrivèrent en Belgique quelques heures plus tard. Comme à l'époque on avait besoin d'énormément de main d’œuvre pour reconstruire tous les ravages, ils trouvèrent du travail sans trop de problème et ils obtinrent leurs papiers après environ 6 mois.
Le père et la mère étaient tout les deux fils uniques.
Le mercredi juin 2001, au petit matin, Julia sentit des contractions extrêmement fortes en se levant
-" Ohhhhh, Vladimir, j(ai mal au ventre, je crois que le petit veut sortir!"
30 minutes plus tard, l'ambulance était arrivée à l'hôpital Etterbeek-Ilsène. A cause de la maladie, l'accouchement fut difficile et douloureux, celui-ci prit d'ailleurs plusieurs heures, alors que le bébé était plutôt mince.
A 19h45, Antoine sortir enfin, mais sa mère mourut sur le coup. le bébé restât une semaine à la maternité pour suivre des test médicaux, avant de pouvoir rentrer à sa nouvelle maison.
Chapitre 2 : ENFANCE
4 ans durant, la petite famille vit dans leur maison ou Antoine apprend le français et le russe .Le petit garçon s'entend à merveille avec Anna, mais son père devient parfois violent lorsqu'il est énervé , et Antoine ne s'attache pas beaucoup à cet homme. mais pour le moment, la situation en reste là et ses crises de colères restent rares
Antoine rentre alors à l'école maternelle. Il est vite remarqué par ses professeurs comme un garçon plus vif et plus intelligent que ces camarades de classe. il s'entend à merveille autant avec les filles qu'avec les garçons.
Chapitre 3 : LA DESCENTE AUX ENFER
Mais ce beau petit monde ( ou presque ) ne le sera dorénavant plus. En 2005, la société ou travaille Vladimir tombe en faillite suite à la crise économique que subit l'Europe et le reste du monde. le père perd son emploi sur le champ, et fut contraint de vendre leurs maison pour loger dans un appartement
Vladimir était pourtant un homme charmant dans sa jeunesse: gentil, attentionné, motivé dans son travail, toujours actif, c'est d'ailleurs pour ces qualités la que Julia l'avait épousée. Mais la mort de sa femme l'avait transformé , l'avait rendu plus violent et plus irascible.
Et la perte de son travail ne l'avait surement pas rendu plus agréable. Il passait maintenant ses journées dehors, on ne sait ou , mais probablement dans les bars, puisqu'il rentrait souvent ivre mort et n'hésitait pas à frapper son fils sans raison et se défouler dessus, le soir tard ou même parfois dans la nuit.
Cette situation dramatique avait influencé assez négativement- pas dans son caractère - mais il avait désormais de moins bons points , semblait sans cesse épuisé et était plus renfermé sur lui même , plus timide, plus silencieux qu'avant. les professeurs ne semblaient pas intervenir, se disant sans doute que c'était passagé.
Etrangement, vladimir remonta doucement la pente, n'ayant plus besoin d'aide du CPAS ( service social belge ) , alors qu'il n'avait pas retrouvé d'emploi.
De pire en pire, en 2007, Anna mourut d'un cancer au cerveau incurable car détecté trop tard par son médecin.
Désormais, Antoine et Vladimir vivent à 2. Antoine à 7 ans et diffère complétement de son père ( de son caractère actuel en tout cas ). Avant, lorsque son père avait un excès de colère, le petit garçon pouvait aller se protéger chez sa grand mère. Maintenant, elle n'était plus là.
Son état empira un peu plus chaque, et devint alarmant. Le directeur de son école se dut de téléphoner aux services sociaux, car il savait que la situation familiale d'Antoine n'était pas top.

-"CPAS, j'écoute"
-" Bonjour je suis le directeur de l'école St-Michel à Etterbeek"
-" Je vois. Que puis-je faire pour vous ? "
-" L'état psychologique et physique d'un de mes élèves m'inquiète fortement. Il n'a rien voulu déclarer à la psychologie après plus d'une heure d’interrogation. Je me suis demandé si cela n'avait pas un rapport familial. Il me semble qu'il n'a pas eu une enfance des plus amusantes..."
-"Habite-t-il à Etterbeek ? "
-"Oui"
-"Quel est son nom de famille ? "
-"Attendez une petite seconde...... Bitchokovitsch"
-" Je regarde, Attendez deux petites secondes. Ah, il est bien dans nos dossiers. C'est le fils de Vladimir Bitchokovitsch; En effet, ... cette famille a été aisée par nos services 1 an et 1/2.
-" Et Après? .... "
-" Son père a mystérieusement remonté la pente alors qu'il n'a toujours pas retrouvé de travail... c'est assez suspect. On avait laissé passer ça il y a 2 ans; merci pour votre témoignage Monsieur, une enquête va être menée"
-"Au revoir !"
CLIC - fin de l'appel.

Chapitre 4 : UN ESPOIR ?

Quelques jours plus tard.

DING DONG,
Antoine ouvrit la porte. Devant lui apparurent 2 hommes. Un policier avec une carrure impressionnante et un inspecteur en costume.
-" Bonsoir petit. Peut on voir ton père , s'il te plaît ? "
-"PAPAAAAAA!!!!!"
-" Roh qu'est ce qu'il est chiant ce gosse, dit le père en arrivant avec une démarche légèrement zigzaguant, Qu'est ce qu'il y a encore nom de Dieu ? !"
-" Il y a des hommes pour toi...." , dit tout bas Antoine, devenu rouge.
En voyant les deux hommes habillés officiellement, son père rougit, honteux de ce qu'il venait de dire.
-"Puis-je vous aider ?", dit-il en essayant de se montrer sympathique.
-" Oh oui, la situation sur votre cas semble rudement suspect. Nous sommes dans le devoir de faire une enquête ..... "

L'inspecteur, après plus de 2 h d'interrogatoire, se rendit enfin compte de l'urgence de la situation. l'enfant était clairement mal traité, et parfois, semblait-il, mal nourri.

-" Monsieur, suite à notre enquête, vous ne semblez pas apte à garder cet enfant. Vous allez être trainé en justice...."

La porte claqua. Son père, ivre de rage, battu son fils à nouveau et pour la énième fois.

Chapitre 5 : LE PALAIS DE JUSTICE

C'était sans doute le bâtiment le plus énorme qu'Antoine n'avait jamais vu. Ce haut plafond et ses statues vous donnait l'impression d'être coupable alors que vous n'aviez rien fait. Le hall immense, amenait vers les différentes salles. Ils durent marcher longtemps avant de rejoindre la cour.
Après plus de 2 heures de blabla ininterrompu, auquel Antoine n'avait rien compris et ou il avait somnolé la plupart du temps , la sentence irrévocable fut prononcée....

-" Monsieur Vladimir Bitchokovitch n'est plus jugé en droit de garder l'enfant Antoine Bitchokovitsch et ce pour une durée indéterminée. L'enfant sera placé dans un orphelinat dès que possible, puisqu'il n'a pas d'autre famille. En attendant, il va être placé dans l'internat de son école!"

Antoine sauta de joie. déjà il quitta cet homme qu'il ne considérait plus , et depuis longtemps , comme son père

Chapitre 6 : VOYAGE DE CLASSE

La semaine qui suivit , sa classe parti justement en classe verte à Durbuy dans les Ardennes Belges. cela allait lui changer les idées. le mercredi 28 mai 2008, alors que les élèves participaient à un parcours aventure, ou Antoine se montra d'ailleurs assez habile.
Tout d'un coup, l'éducateur qui les accompagnait accourut affolé; il chuchota quelque chose dans l’oreille de la titulaire.

-" Antoine, descend tout de suite! "
2 minutes plus tard, le temps de descendre....
-"Voilà, ton père a été retrouvé mort...." la titulaire ne se sentait plus capable de continuer.

En fait, le père avait été retrouvé ce matin même, lors de l'inspection hebdomadaire dans son appartement. Il était étendu par terre, dans une mare de sang. Après une petite enquête, l'histoire prit tout son sens....Si Vladimir tant d'argent sans travail cela ne pouvait être que par le trafique de drogue. Il passait toute sa journée à vendre des produits illicites.
Partout dans le monde,les gangs se menaient une lutte parfois explosive pour gagner toujours plus de pouvoirs. Cette situation avait été fatale à Vladimir.

Chapitre 7 ( et le dernier enfin ) : A L'ORPHELINAT

Il fallut 1 an pour trouver une place dans l'orphelinat situé proche de l'école. Malheureusement, cet orphelinat était en piteux état. Il partageait son étroite chambre avec un garçon qui parlait très peu.
La plupart des enfants et ados là-bas touchaient à la drogue, à l'alcool et aux cigarettes, même des gosses de 7 ans parfois ^^ dégouté par ce qui était arrivé à son père, il ne voulait jamais toucher à ces trucs là, ça le répugnait.
Il était différent des autres garçons, plus intelligent, plus motivé , moins idiot. Le directeur de l'établissement, ex-agent de CHERUB, aimait bien ce gosse. Lui qui n'avait jamais pu avoir d'enfants, le considérait presque comme son propre fils. Il avait envie de le garder pour lui, mais se décida tout de même à envoyer don dossier à CHERUB. Il le faisait rarement, mais était profondément convaincu que l'organisation ne pouvait passer à côté de cet enfant. Un an et demi était passé depuis. On était à la mi-2010.
On le fit changer de chambre pour le mettre avec un garçon qui lui correspondait mieux. En fait , c'était un agent qualifié en mission de recrutement.
Son compagnon de chambre s'est dit impressionné par la vivacité d'esprit et la maturité du petit.
Le directeur de l'orphelinat mais tout en œuvre pour que le dossier d'Antoine soit accepté, mais de façon discrète bien sur. Il lui a proposé de prendre des cours d'Anglais, prétextant qu'il était bon en langue et que ça lui permettrait de prendre de l'avance. Il lui a également demandé, l'air faussement rêveur , quel nom il choisirait si il avait l'opportunité de changer , d’où Antoine Sirkis.
A l'heure actuelle, il ne manque plus que l'acceptation de son dossier pour qu'il intègre les rangs de CHERUB, quelques jours probablement avant son 10eme anniversaire....


»


WHAT'S IN MY BRAIN ? - Caractère . 10 Lignes au minimum
« 10 LIGNES MINIMUM ! Les commentaires de ses professeurs sont jusqu'ici globalement très positif : intelligent, vif, motivé. Antoine est néanmoins un garçon légèrement renfermé et timide quand il ne connait pas bien la personne à qui il a affaire ( ces traits de caractères semblent normal vu sont passé douloureux .. ). Il lui arrive également d'être rêveur et être seul ne le dérange pas trop, ça lui permet de réfléchir. Mais une fois les premières connaissances faites, il se montre toujours très motivé, adore trainer avec ses amis,etc.
Antoine réfléchit toujours avant d'agir et ne se laisse que rarement influencer par les autres.
Antoine est de caractère curieux. A l'école, il est très bon en langue, il n'a par contre pas l'esprit très scientifique/ mathématique. Il est moyen dans le reste. Il parle actuellement courrament le français et le russe, et prend des cours du soir en Anglais. Il progresse dans cette langue de jour en jour et a atteint le niveau B2 européen.Les premiers jours vont peut-être être difficile pour lui , mais le directeur de l'orphelinat ne doute pas de ses capacités d'adaptation. Si, il a appris un peu le Néerlandais jusque la, ses cours n'étaient pas très efficace, il ne considère donc pas maitriser cette langue. Attaché à son pays d'origine, il prendre , lorsqu'il le pourra Néerlandais et Allemand en plus.
Il est également à noter qu'Antoine n'aime pas utiliser la violence. Il n'a d'ailleurs pour le moment aucun cours ni aucune base en arts martiaux. Il apprendra tout ça à CHERUB bien sur, mais il faudra lui mettre en tête que c'est purement dans un but défensif ( ce qui est somme toute assez vrai d'ailleurs )
Sinon, il aime beaucoup écouter de la musique, cela l'aide à ce calmer lorsqu'il perd patience. Il est particulièrement fan d'Indochine, d’où son nom. Comme très peu de personnes connaissent Nicola Sirkis en Angleterre, ça ne pose pas de problème. Depuis qu'il est à l'orphelinat, il fait du théâtre à son école. c'est donc un bon comédien et a une bonne mémoire.
»



WHAT AM I LOOK LIKE ? - Physique . 15 Lignes au minimum
« 15 LIGNES MINIMUM ! Antoine est assez petit pour son âge, très mince ( il n'est pas du tout anorexique, il peut manger tout ce qu'il veut, il ne grossit pas ). Il paraît plus jeune que ce qu'il est réellement. Il a les cheveux bruns- tirant vers le noir , mis-longs, et les yeux bleus-gris assez grand. Il a une petite cicatrice au menton, mais celle-ci est à peine visible. Il n'a pas un visage joufflu, mais assez fin. Ses cheveux sont continuellement en bataille.
Antoine n'est pas hyper baraqué, surtout au niveau des bras, mais ses jambes, ses abdos et ses pectoraux sont plus que corrects Il a, selon ses professeurs d'éducation physique, les épaules légèrement trop ressortant, mais que quelques pompes tous les jours devait suffire à arranger le problème. Ce n'est pas un grand sportif, dans le sens ou il n’excelle pas dans des sports tels que le foot ou le rugby. Mais pour autant, il adore bouger , courir dans tous les sens ,se dépenser. Il adore jouer au tennis. Il pratiquera volontiers un sport avec ses meilleurs amis, mais uniquement dans le but de s'amuser ou de s'occuper
Comme dit plus haut il adore courir et a une bonne endurance pour son age. Il a une bonne vitesse, ce n'est peut-être pas une locomotive , mais c'est loin d’être un escargot. Il a donc une bonne vitesse mais n'est pas le plus rapide de sa classe. Lorsqu'il cours les 3 km par exemple, il ne marche jamais. Comme dit plus haut, il ne fait jamais usage de la violence, sauf en cas d’extrême urgence ou pour se défendre. Il n'a jamais appris ni les arts martiaux , ni le tir à l'arme.
Il est assez résistant à la douleur, puisque son père le battait régulièrement, n'a donc pas peur de subir des choques.
»



AM I HEALTHY ? - Santé


« Médical »

• Vaccins : A jour pour la Belgique, mais pas pour partir du jour au lendemain à loin à l'étranger.
• Problème de santé :Aucun
• Allergies :Aucune détectée à ce jour en tout cas
• Maladies : Aucune
• Maladies chronique : Aucune
• Maladies antérieures : A pars quelques méchants rhumes, rien de bien grave
• Blessures :il s'est classé la clavicule à 8 ans en percutant un mur , mais s'en est bien sur totalement remit.
• Particularités : En bonne condition physique. Légerement trop mince, mais il mange bien il ne grossit juste pas


FUCKING SCHOOL - Performances


« Théorie »

• Maths 10 / 20 ( il déteste les math, mais pourrait avoir de plus beaux points si il travaillait mieux.
• Physique-Chimie 11 / 20
• Biologie 12 / 20
• Français 17 / 20 (langue maternelle )
• Anglais 12 / 20 ( En train de l'apprendre, progresse de jour en jour et devrait atteindre le niveau C2 ( bilinguisme ) quelques semaines après son arrivée à CHERUB )
• Russe 15 / 20 (langue maternelle)
• Histoire- Géographie 13 / 20
• Option (Arts) 15 / 20 ( joue de la guitare mais n'a pas de bases en solfège, du théâtre et dessine bien )

« Sport »

• Course 15/ 20
• Art Martiaux 0 / 20 ( commencera à apprendre à CHERUB )
• Natation 13 / 20
• Tir à l'arc 12 / 20 ( en a déjà fait à sa classe verte )
• Tir à l'arme 0 / 20 (n'a jamais tiré , il apprendra ça a CHERUB )
• Escalade 13/ 20 (grimpe pas trop mal, n'a en tout cas pas le vertige.)
• Option (Tennis) 15 / 20 ( en joue depuis l'age de 8 ans à son entrée à l'orphelinat )

THE MIRROR OF MYSELF - Joueur

Prénom ou Pseudo :
Antoine / Douroucouli (totem scout mais c'est un nom compliqué alors mieux veut laisser tomber .... )
Age :17 ans

Fréquence sur le forum : 2/3 jours / 7 jours (pendant l'année scolaire )
7 jours / 7 jours (pendant les vacances)
Votre avis sur le forum :ça m'a l'air bien,. La présentation est rudement difficile comparé a d'autres forums mais après tout " c'est dur , mais un agent de CHERUB est encore plus dur "
. Au début on se sent perdu, mais c'est également comme ça sans doute les premiers jours à CHERUB alors .....
Code du forum : [OK 'Soan]




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Antoine Sirkis

Antoine Sirkis
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Date d'inscription : 18/11/2014

Et un coup de pied au cul d'Emilie, et un !! Empty
MessageSujet: Re: Et un coup de pied au cul d'Emilie, et un !!   Et un coup de pied au cul d'Emilie, et un !! G1oWKDim 10 Avr - 19:31

La sonnette retentit d’un fracas assourdissant. Mon sang ne fit qu’un tour, comme à chaque fin d’après-midi. Mes affaires volèrent dans mon sac à dos à toute vitesse, la tirette fila comme un TGV et j’étais déjà hors de la classe, ne prenant même pas la peine de répondre aux salutations de mes camarades. J’étais un peu désolé pour eux, mais je n’avais pas le choix. De toute façon, je n’avais pas vraiment d’amis à l’école… Je ne disposais pas de temps à leur consacrer.

Il fallait que je sois à la maison dans vingt minutes… Sinon… Je préférais ne pas y penser. Non, n’y pense pas, Anton. Fonce, et tout ira bien. C’était un mensonge, je le savais. Mais je marchais quand même jusque chez moi sans perdre une seconde. Ça devait avoir l’air parfaitement ridicule de l’extérieur : une démarche proche de la course mais absolument pas naturellement. J’avais l’impression que mon corps se tordait de manière étrange, je pouvais presque entendre les rires moqueurs des passants autour de moi. Et cette voix… Je secouai ma tête vigoureusement pour chasser ces idées. Non, Anton, tout ira bien.

L’appartement était là. Je jetai un rapide coup d’œil à ma montre. Ça va, j’étais dans les temps. Il me restait une minute. Je grimpai les marches qui menaient au cinquième étage quatre à quatre et arriva devant la porte. Je déglutis avec difficulté, sortis ma clé et la tourna dans la serrure.

Il était là, le regard ténébreux et menaçant. Qu’est-ce qu’il avait l’air grand... Il m’attendait. Il me faisait peur. Ses bras étaient croisés, ce n’était pas bon signe. Ses yeux étaient posés sur sa montre.

« Tout juste, hein… »
Quel accueil. Mais je ne me t’attendais pas à mieux. Je baissai mon regard, une pointe de honte faisant son chemin dans ma tête.

« Désolé… » marmonnai-je.

« Et pour la poubelle que tu devais normalement sortir ce matin et que tu as délibérément laissé là, tu es désolé ? Hein ?! »
Le ton monta. Je savais que je n’y échapperais pas. Mes joues rougirent encore un peu, la chaleur commença à m’étouffer. Je perdais mes mots face à lui.

« Mais j’allais être en retard, sinon... Mais ne t’inquiète pas, je vais le faire maintenant… » Mon regard était toujours rivé sur mes chaussures.

« C’est pas MAINTENANT que je te le demandais, espèce de bon à rien, c’était ce matin. »
Suivi d’une forte gifle sur ma joue droite. Le coup me fit reculer d’un pas. « Et lève ta PUTAIN DE TÊTE quand je te parle ! On t’a appris le respect, non ?! » Deuxième gifle, sur la joue gauche. Ça faisait mal, bien sûr, mais j’avais l’habitude. C’était dans la tête que c’était le plus douloureux. Les insultes à répétition, tout ça. Quand on a entendu ça toute sa vie, ou presque, on finit par y croire.

« D’accord, d’accord… Je m’excuse, je vais le faire… »
Répondis-je d’une voix tremblante. C’était un signe de faiblesse,  signe que les larmes étaient prêtes à couler. Mon père n’aimait pas la faiblesse, mais je n’étais que ça à ses yeux : un sac à merde faible et totalement inutile. Pourtant, je faisais des efforts terribles pour répondre à ses attentes, mais en vain. Quel était mon problème ? Étais-je donc si mauvais que ça pour qu’il soit toujours aussi fâché rien qu’en me voyant ?

« Oh, mais tu ne vas pas t’en sortir comme ça ! » Il m’agrippa par le col et me mena à son niveau. Nos yeux se croisèrent un bref instant. La haine. Le dégoût. L’exaspération. Autant de sentiments négatifs que je pouvais lire dans ses yeux. Je détournai rapidement les miens. Il me cola violemment contre le mur et y cogna ma tête, qui se mit un peu à tourner. « Déjà, j’aimerais que tu arrêtes de pleurer comme une TAPETTE. J’ai pas envie de ça sous mon toit, ok ? Espèce de sale TAPETTE. » Dit-il en me plaquant à nouveau contre la paroi. « Allez, va faire la vaisselle, nettoie la cuisine aussi, et prépare le souper… » dit-il en me lâchant sans ménagement. Mon corps heurta le sol. J’avais mal aux côtes. Et bien sûr, je mis trop de temps à me relever.

Coup de pied dans l’estomac. « LÈVE-TOI, BON SANG ! C’EST PAS POSSIBLE D’ÊTRE AUSSI MAUVAIS ! T’ES VRAIMENT QU’UNE MERDE, ANTON !! » Puis, il partit et alla dans sa chambre pour regarder la télé.

Je me levai péniblement. J’avais mal, bien sûr. Mais c’était tous les soirs comme ça. J’avais appris à en faire abstraction et à continuer. Sinon, comment devenir bon à ses yeux ? Ce n’est pas comme ça que j’allais devenir quelqu’un de respectable. Il a raison. Qu’est-ce que je suis pathétique…

Ma tête tournait un peu. Je me dirigeai vers l’évier pour faire la vaisselle. Des larmes coulaient doucement sur mon visage. Rahh, et pourquoi je pleure tout le temps aussi ? A-t-on idée d’être aussi faible, aussi nul ?!

Je fis donc ce que mon père m’avait demandé, je mangeai ma part –je ne souhaitais pas souper avec lui, à vrai dire–, puis me dirigeai vers sa chambre. Sur le seuil de la porte, je lui dis que c’était prêt. Il me glapit un « Va faire tes devoirs ! ». Je ne me fis pas prier. Je m’engouffrai dans ma chambre et m’assis à mon bureau. J’avais mal à la tête et au ventre, mais je ne m’en étais pas encore trop mal tiré cette fois-ci. Je mis doucement de la musique. Pas trop fort, surtout pas trop fort. Sinon j’allais le déranger et ce serait une excuse pour me battre encore une fois. Une seule fois par jour me suffisait, merci. C’était à peine audible, même pour moi qui étais à côté, mais ça m’apaisait.

Avant, ce n’était pas comme ça. Certes ma mère est morte à ma naissance, parce qu’elle avait contracté une grave maladie. Mais mon père avait un boulot acceptable, et ma grand-mère était là pour me protéger. Mais elle est morte il y a cinq ans, quand j’avais neuf ans. Maintenant, j’en ai quatorze. Depuis, la crise a frappé, mon père a perdu son boulot… La suite est classique. Il s’est mis à boire et à me taper. Au début, seulement quand il était bourré, puis tout le temps. Il ne travaillait pas. Il trouvait des boulots par-ci par-là pour avoir une rentrée d’argent suffisante, combinée à mon job le week-end. Je travaillais pour que l’on puisse survivre. Ce n’était pas légal de travailler autant à mon âge. Pas légal de travailler du tout, d’ailleurs. Mais avais-je le choix ? Bien sûr que non. Mais je continuais à survivre. Parce que c’est de ça qu’il s’agissait. Survivre. Je ne savais pas ce qu’était vivre. Je ne le méritais pas de toute façon.

On était vendredi soir. Il fallait absolument que je fasse tous mes devoirs pour la semaine prochaine, parce que ce week-end je n’aurais pas le temps…
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